Vous avez de la valeur
Après la mort de ma belle-mère, ma femme et moi avons découvert, cachés dans le tiroir d’une commode de son appartement, des cents américains frappés à l’effigie d’un Amérindien. Elle ne collectionnait pas à proprement parler les pièces de monnaie, mais elle vivait dans une région où ces cents circulaient et elle en avait accumulé quelques-uns.
De loin ?
From a distance », cette chanson pour laquelle Bette Midler a remporté le Grammy de la Chanson de l’année en 1991, décrit ce à quoi ressemble la Terre de loin : « De loin, le monde est bleu et vert […] l’harmonie règne […] Personne n’est dans le besoin. Il n’y a ni fusils, ni bombes, ni maladies […] Nous sommes des instruments […] jouant des chants d’espoir, jouant des chants de paix. » La chanson se termine avec ce refrain en continu : « Dieu nous regarde de loin. »
Un abri véritable
En mars 2014, un conflit tribal a éclaté dans ma région natale, forçant la maisonnée de mon père, ainsi que d’autres réfugiés, à aller se mettre à l’abri dans la capitale régionale. Tout au long de l’Histoire, des gens qui se sentaient en danger dans leur propre pays sont allés s’installer ailleurs afin d’y trouver la sécurité et un meilleur sort.
Convenablement vêtu
Il y a quelques années, mon mari et un ami ont relevé le défi des trois pics nationaux (l’ascension des plus hautes montagnes d’Écosse, d’Angleterre et du pays de Galles en 24 heures). Ils ont eu entre autres à grimper le Ben Nevis, la plus haute montagne des îles Britanniques, à 1 344 mètres. Le temps était ensoleillé au pied du Ben Nevis lorsque les hommes, vêtus d’un t-shirt et de shorts, en ont commencé l’ascension. Toutefois, tandis qu’ils approchaient du sommet, la température s’est mise à changer. Ils se sont heurtés à de la glace et à du brouillard épais, et leurs vêtements légers ne convenaient plus au climat. Ils ont pu revenir au bas de la montagne, mais sans réussir le défi. Un mauvais choix de vêtements a mis fin à leur aventure.
Les sources du salut
Si l’on fore des trous profonds dans le sol, c’est normalement pour en extraire de la pierre, accéder à du pétrole ou trouver de l’eau.
Le succès ultérieur
Un membre de ma petite assemblée vient d’entamer sa 9e décennie. Son zèle pour Dieu et pour le service n’a pas diminué en 60 ans. Toutefois, son corps commence à ralentir. Cela le frustre puisqu’il désire parler de l’amour de Jésus à tout le monde. Il veut prendre part aux efforts d’évangélisation, mais il ne peut que rarement quitter sa maison ces jours-ci.
Le meilleur des bonheurs
« Tout le monde le fait » me semblait être une excuse irréfutable lorsque j’étais jeune, mais je me trompais. J’avais beau les supplier désespérément de m’autoriser à faire une chose qu’ils jugeaient dangereuse ou insensée, mes parents ne me donnaient jamais gain de cause.
Les morsures de la vie
Une femme de 71 ans se tient à l’extérieur de sa maison lorsqu’un essaim d’abeilles se met à la piquer. Ses voisins appellent les pompiers qui, se précipitant à sa rescousse, la découvrent couverte d’abeilles. Ils jettent une couverture sur elle et la transportent dans une maison voisine. Incroyablement, elle survit à plus de 1 000 piqûres !
Amour et connaissance
Une vieille légende raconte qu’au moment de monter à bord du Titanic, une femme a demandé à un matelot si le Titanic était réellement insubmersible, ce à quoi il a répondu : « Dieu lui-même ne pourrait faire couler ce navire. »
Des rappels retentissants
La tour de l’horloge du palais de Westminster, qui abrite la cloche que l’on appelle Big Ben, compte au nombre des monuments les plus iconiques de Londres, en Angleterre. Selon la tradition, la mélodie de sa sonnerie aurait été inspirée d’un des airs du Messie de Händel : « Je sais que mon Rédempteur vit ». On en est venu à mettre des paroles en anglais sur cet air, que l’on a affichées dans la salle de l’horloge :